Frédéric Ohlen

Frédéric Ohlen

Il voit le jour à Nouméa en 1959, une ville où il enseigne depuis un quart de siècle le français et l'histoire à la Vallée-du-Tir, quartier populaire en pleine mutation qui lui a inspiré un recueil de nouvelles : Brûlures (Grain de Sable, 2000).

Homme de mots et d'action, de musiques et de rythmes, il se consacre d'abord à la poésie, qu'il sert avec générosité et profusion : dix recueils publiés à ce jour, rassemblés sous la forme d'un vaste cycle consacré à la lumière, au mouvement, à l'espace : La Voix solaire (Galerie Racine/Guy Chambelland, 1996); La Peau qui marche et autres poèmes (L'Herbier de Feu, 1998), Le Marcheur insolent (Grain de Sable/L'Herbier de Feu, 2002), La Lumière du Monde (Grain de Sable/L'Herbier de Feu, 2005), Venir au jour (L'Herbier de Feu, 2009), Anima aeterna (L'Herbier de Feu, 2011).

Éditeur et président de la Maison du Livre, il est lauréat de plusieurs prix, dont le prix du gouvernement (2005) et le prix Bernheim de littérature jeunesse (1998) pour sa nouvelle, Tovaritch !

« Je crapahute à travers vos œuvres comme dans les plus divers des pays et des paysages. Il y a de tout : de la gravité et du jeu, de la faconde et de l'émotion, de la virtuosité et de la simplicité. Je compte les faire connaître à d'autres. » (Georges-Olivier Châteaureynaud.)

Nouvelles calédoniennes, Vents d'ailleurs, 2012. 


© Ici et ailleurs, 2019